Quand on meurt, on voit défiler sa vie…

« Quand on meurt, on voit défiler sa vie… », interpréter au travers votre héros cette expérience sous la forme d’une planche de bande dessinée en choisissant au mieux :
* le dessin, la charte chromatique, la narration, le point de vue du spectateur, l’étagement des plans, l’irrégularité du format des vignettes…
– Verbalisation après une analyse comparative de planches.
– Notions abordées : cadrage, champ/ hors-champ, articulation…

1. Les codes de la mise en séquence
– Le morcellement, dans l’espace de représentation, du récit (glyphes, bas-reliefs, vignettes…),
– la narration au service de l’articulation des unités,
– les signes expressifs : irrégularité du format des vignettes, perméabilité d’une à l’autre, distorsions, expansion, éclatement du cadre, circulation des personnages dans l’espace du support, et hors des vignettes, rapport graphique avec le texte, la bulle…

2. La continuité/ discontinuité spatio-temporelle
– La prise en charge de celle-ci par des éléments iconiques sous la forme de relais visuels (raccords),
* soit par la répétition métonymique du même espace identifié comme continu d’une unité à l’autre,
* soit par la citation métonymique des personnages et de leurs caractéristiques.
– L’utilisation de codes spécifiques obéissant à une rhétorique qui assume la fonction narrative : cadrages, angles de vue, raccords sur le mouvement, sur le regard, présence du hors-champ, jeu de profondeur…


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